Il s’appelle l’Abeona. C’est le bateau qui suit le bateau. Oui, Bezos a un voilier... escorté par un yacht. Et ça résume assez bien l’esprit : l’illusion de l’écologie, mais avec des moteurs qui consomment comme un A380 en montée pleine charge.
En rentrant d’un essai en mer ce soir-là, on est tombé sur le rafiot du mec qui possède le site sur lequel tu as commandé ta litière pour chat. Un jouet de 500 millions d’euros, amarré comme une starlette en escale à Cannes. Le Koru, c’est le genre de voilier qui ferait rougir Popeye et pleurer Greenpeace.
127 mètres de long, trois mâts, des voiles plus grandes qu’un terrain de foot, un pont en teck, deux moteurs diesel de 2000 chevaux chacun… Et un bateau annexe de 75 mètres juste pour transporter l’hélico, les jet-skis, les paddleboards, l’équipage, les canapés et peut-être même ton ego si t’es sympa.
Il s’appelle l’Abeona. C’est le bateau qui suit le bateau. Oui, Bezos a un voilier... escorté par un yacht. Et ça résume assez bien l’esprit : l’illusion de l’écologie, mais avec des moteurs qui consomment comme un A380 en montée pleine charge.
Construit par Oceanco, Koru est inspiré des goélettes classiques, mais à la sauce Jeff Bezos : exagéré, élégant, inquiétant. L’intérieur est classé secret-défense, mais les rumeurs parlent de spas, de salles de sport, et de décors qui mélangent minimalisme japonais et techno d’espion.
Ce yacht n’est pas juste un yacht. C’est un symbole. De pouvoir, de contrôle, de déconnexion aussi. Et sa première apparition au large de Palma a fait autant jaser dans les ports que le dernier iPhone chez les geeks.
Ce qui rend Koru fascinant, c’est qu’il prétend renouer avec la mer, les éléments, la lenteur… alors qu’il est littéralement poursuivi par un yacht à moteur. C’est un peu comme faire du yoga dans une boîte de nuit. Mais qu’on l’admire ou qu’on le raille, Koru incarne une nouvelle ère : celle des méga-yachts voiliers pour ultra-riches en quête de discrétion clinquante.
Koru, c’est un mix entre une déclaration d’amour à la mer et une insulte à la sobriété. Un objet fascinant, absurde, sublime et dérangeant à la fois. Popeye n’aurait jamais osé rêver aussi grand. Bezos, lui, l’a fait construire.
En rentrant d’un essai en mer ce soir-là, on est tombé sur le rafiot du mec qui possède le site sur lequel tu as commandé ta litière pour chat. Un jouet de 500 millions d’euros, amarré comme une starlette en escale à Cannes. Le Koru, c’est le genre de voilier qui ferait rougir Popeye et pleurer Greenpeace.
127 mètres de long, trois mâts, des voiles plus grandes qu’un terrain de foot, un pont en teck, deux moteurs diesel de 2000 chevaux chacun… Et un bateau annexe de 75 mètres juste pour transporter l’hélico, les jet-skis, les paddleboards, l’équipage, les canapés et peut-être même ton ego si t’es sympa.
Il s’appelle l’Abeona. C’est le bateau qui suit le bateau. Oui, Bezos a un voilier... escorté par un yacht. Et ça résume assez bien l’esprit : l’illusion de l’écologie, mais avec des moteurs qui consomment comme un A380 en montée pleine charge.
Construit par Oceanco, Koru est inspiré des goélettes classiques, mais à la sauce Jeff Bezos : exagéré, élégant, inquiétant. L’intérieur est classé secret-défense, mais les rumeurs parlent de spas, de salles de sport, et de décors qui mélangent minimalisme japonais et techno d’espion.
Ce yacht n’est pas juste un yacht. C’est un symbole. De pouvoir, de contrôle, de déconnexion aussi. Et sa première apparition au large de Palma a fait autant jaser dans les ports que le dernier iPhone chez les geeks.
Koru, c’est un mix entre une déclaration d’amour à la mer et une insulte à la sobriété. Un objet fascinant, absurde, sublime et dérangeant à la fois. Popeye n’aurait jamais osé rêver aussi grand. Bezos, lui, l’a fait construire.