Casques jet, lunettes en cuir, pick-ups Ford, Harley de l’avant-guerre… La plage devient tableau. Et le tableau fait du bruit.
Il y a des courses où tu sens l’huile chaude. Et d’autres, où tu sens carrément le sel. La Normandie Beach Race, c’est ça. Une bande d’irréductibles venus faire crisser leurs pneus pré-47 sur la plage du Débarquement. Du drag old school, du cuir usé, des moteurs qui fument et une ambiance entre Mad Max et docu Arte sur le rockabilly.
Pas de chrono électronique. Pas de paddock climatisé. Juste une ligne tracée sur le sable, un drapeau levé à la main, et des types qui balancent 400 mètres de couple dans les embruns. La Normandie Beach Race, c’est une machine à voyager dans le temps. Et ça fait du bien.
Casques jet, lunettes en cuir, pick-ups Ford, Harley de l’avant-guerre… La plage devient tableau. Et le tableau fait du bruit.
Créée en 2019 par trois passionnés français, la Normandie Beach Race s’inspire des légendaires courses de Pendine Sands au Pays de Galles ou d’El Mirage aux US. L’idée : réserver une portion de plage normande (ici, Sword Beach) et y aligner des engins strictement d’avant 1947. Hot-rods, Harley, Indian… le tout dans un esprit pur sel, sans fioriture.
Chaque édition rassemble des centaines de spectateurs, les pieds dans le sable, la tête dans les vapeurs d’essence. Les pilotes ? Des mecs et meufs qui vivent leur passion à l’ancienne : les bécanes arrivent sur plateau, les voitures sont réglées au tournevis, et les combinaisons sentent la graisse.
Le plus beau ? C’est pas une vitrine. Les caisses roulent, patinent, dérapent, parfois cassent. Et c’est justement ça qui rend le truc vivant. On n’est pas au musée. On est en Normandie. Et ici, la mémoire passe aussi par le bruit.
Dans une époque où tout est calibré, millimétré, aseptisé, la Normandie Beach Race détonne. Ici, pas de sponsors bling, pas de tuning plastique. Juste des lignes pures, des pneus flancs blancs et des moteurs qui ont vu passer la guerre. C’est du drag, mais c’est aussi du manifeste. Une déclaration d’amour à la mécanique sincère. À la vitesse sale. À la liberté de rouler sans ABS et sans playlist Spotify.
Que tu viennes pour voir des vieilles bagnoles courir dans les embruns ou juste boire un café avec un gars qui roule en Ford 1932, tu ressortiras changé. La Normandie Beach Race, c’est pas un festival. C’est une claque. Une ode à la simplicité qui tape juste. Comme une vieille bécane qui démarre au quart… sans rien demander à personne.
Il y a des courses où tu sens l’huile chaude. Et d’autres, où tu sens carrément le sel. La Normandie Beach Race, c’est ça. Une bande d’irréductibles venus faire crisser leurs pneus pré-47 sur la plage du Débarquement. Du drag old school, du cuir usé, des moteurs qui fument et une ambiance entre Mad Max et docu Arte sur le rockabilly.
Pas de chrono électronique. Pas de paddock climatisé. Juste une ligne tracée sur le sable, un drapeau levé à la main, et des types qui balancent 400 mètres de couple dans les embruns. La Normandie Beach Race, c’est une machine à voyager dans le temps. Et ça fait du bien.
Casques jet, lunettes en cuir, pick-ups Ford, Harley de l’avant-guerre… La plage devient tableau. Et le tableau fait du bruit.
Créée en 2019 par trois passionnés français, la Normandie Beach Race s’inspire des légendaires courses de Pendine Sands au Pays de Galles ou d’El Mirage aux US. L’idée : réserver une portion de plage normande (ici, Sword Beach) et y aligner des engins strictement d’avant 1947. Hot-rods, Harley, Indian… le tout dans un esprit pur sel, sans fioriture.
Chaque édition rassemble des centaines de spectateurs, les pieds dans le sable, la tête dans les vapeurs d’essence. Les pilotes ? Des mecs et meufs qui vivent leur passion à l’ancienne : les bécanes arrivent sur plateau, les voitures sont réglées au tournevis, et les combinaisons sentent la graisse.
Le plus beau ? C’est pas une vitrine. Les caisses roulent, patinent, dérapent, parfois cassent. Et c’est justement ça qui rend le truc vivant. On n’est pas au musée. On est en Normandie. Et ici, la mémoire passe aussi par le bruit.
Que tu viennes pour voir des vieilles bagnoles courir dans les embruns ou juste boire un café avec un gars qui roule en Ford 1932, tu ressortiras changé. La Normandie Beach Race, c’est pas un festival. C’est une claque. Une ode à la simplicité qui tape juste. Comme une vieille bécane qui démarre au quart… sans rien demander à personne.